Dans une lettre ouverte au président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker et au premier vice-président, Frans Timmermans, la CIDSE, ainsi que 19, d'autres organisations de la société civile, ont répondu à la déclaration publiée par BusinessEurope.
Le document BusinessEurope, sous la rubrique «Contribution des entreprises à l'exercice de sélection par le vice-président Timmermans», est partie d’une tendance dérégulatrice à la déréglementation sous le titre «Réduire les formalités administratives». Il a spécifiquement fallu les règles de l'UE pour garantir l'équilibre entre les sexes dans les conseils d'administration, prolonger le congé de maternité, réduire la pollution atmosphérique et introduire une taxe sur les transactions financières (TTF) comme objectif. La CIDSE s'est jointe à une coalition de syndicats, d'organisations environnementales, d'organisations de défense des droits des femmes et d'autres organisations travaillant pour la justice mondiale avec les signatures du président Heinz Hödl et du secrétaire général Bernd Nilles.